J’arrête un taxi pour rentrer chez moi et je monte en arrière. Le siège de devant était déjà occupé par un policier en tenue.
Arrivé devant le commissariat, le taxi s’arrête, le policier ouvre sa portière et s’en va sans payer.
Nous reprenons notre chemin. Plus loin, le chauffeur ne peut s’empêcher de grommeler : « je ne pouvais rien lui dire, peut-être qu’un jour j’aurai besoin de lui . »