ÉCRITURE – Paul Bowles était-il voleur d’idées ?

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Un article paru sur le Washington Post donne la parole à Mohamed Mrabet, écrivain et artiste marocain vivant à Tanger. Celui-ci évoque ses relations dans cette ville avec le grand écrivain américain Paul Bowles qu’il accuse d’avoir repris ses histoires sans le rémunérer.

Pour l’exercice des 100 mots de cette 31ème semaine du programme MOMKIN, voici ce qu’a écrit Ibtissam sur le sujet.

“The article “Rediscovered in the alleys of Tangier, Morocco’s last link to the Beat Generation feels broken” written by Sudarsan Raghavan, and published in The Washington Post tackles the life of the storyteller/artist Mohamed Mrabet, and his collaboration with the American writer/composer Paul Bowles. Mrabet who is considered the last Moroccan link to the Beat Generation, gained his fame thanks to Paul Bowles who helped him translate and publish more than 14 novel.

Years after their friendship and collaboration, Mrabet claims that Paul has stolen his stories and money. Yet the reasons behind such a claim is still ambiguous. Currently he lives in his native town Tangier with his family,  but no one appreciates his works nor recognizes him as a writer.”

By Ibtissam Bousbibit

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