Débat – Héritages #1

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Notre séance de débat s’est basée sur le premier texte de la série hebdomadaire “Héritages”.  Ces écrits de Taha Balafrej permettent aux jeunes de découvrir des événements historiques et des personnalités, de développer leur culture et d’éveiller leur curiosité. 

Afin de préparer la séance, les jeunes ont fait des recherches sur  les références et personnalités cités dans Héritages #1. Chacun a rédigé un texte sur un sujet qui y est cité au choix. 

Voici ce qu’a écrit Douaa :

“Héritage, un titre qui exprime bien le texte, car ce texte nous présente un trésor. Un jeune homme a attendu avec impatience l’édition du magazine littéraire et culturelle Arrissala pour connaître les nouvelles et lire des écrivains célèbres. Dans la pression de la colonisation la seule manière pour dépasser c’est lire et ce n’est pas n’importe quoi. C’est un magazine riche en sujets importants parmi eux l’art et la culture. L’importance de ce magazine lui a permis de voyager au Maroc pour les lecteurs qui ont besoin d’un nouveau souffle. Ce qui m’a attirée c’est la deuxième citation, car elle nous rappelle la gloire des arabes il y a longtemps. Ils ont maîtrisé beaucoup des domaines la religion, le sciences, l’art et autres, par contre les autres pays étaient spécialistes de moins de choses. Aujourd’hui nous avons un grand manque culturel et intellectuel, les magazines n’écrivent pas sur des sujets utiles, ils s’intéressent à des sujets ridicules juste pour attirer l’attention. Les magazines d’aujourd’hui n’ont pas un objectif ou un message à donner pour les lecteurs, contrairement à Arrissalah qui avait un objectif à atteindre par l’écriture.

“Arrissala” est un magazine créé par Ahmed Hassan Zayat en 1933 en Égypte, il compte 1025 numéros. Ce magazine a donné la chance à beaucoup d’écrivains comme Ahmed Amin, Arafii et d’autres pour écrire sur plusieurs sujets concernant le monde arabe ou occidental et exprimer leurs points de vue. Le magazine a nourri la culture et la pensée des lecteurs ainsi que leurs connaissance dans une langue éloquente qui facilite la compréhension aux jeunes arabes. C’était une fierté pour les écrivains et les lecteurs. Le magazine a cessé ses activités en 1953.” – Douaa Larif

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