Découvrez ce que Najwa Hriouil a rédigé sur l’article “Feuilles d’automne” de Taha Balafrej

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Pour l’exercice de réflexion hebdomadaire numéro 19, les participants MAHIR ont été invités à lire et à commenter la première partie de l’article “Feuilles d’automne” de Taha Balafrej.

Voici ce qu’a rédigé Najwa Hriouil, 29 ans : 

« Feuilles d’automne », des paragraphes écrits par M. Balafrej pour exprimer des maux à travers des mots. « Feuilles d’automne » est un ensemble de sentiments, de pensées, de réflexions, de rêves et de réalité pure et dure. « Feuilles d’automne » est donc une réflexion personnelle de M. Balafrej à travers laquelle il dit haut et fort ce que les autres pensent tout bas.

« Lecture », « mes lectures », « les feuilles de mes livres », « lire », « je lis », « les livres » … Etc. Ces mots se sont répétés plusieurs fois dans le texte. M. Balafrej cherche à nous rappeler l’importance de la lecture dans notre vie. Sans la lecture, on n’apprend rien ! Sans la lecture, on n’avance pas ! Sans la lecture, on ne vit pas !

C’est en lisant qu’on se découvre. C’est grâce à la lecture qu’on acquiert du savoir. C’est à travers les livres qu’on découvre le monde. Et bien évidemment, sans la lecture, l’écriture n’existera pas. Il existe une relation complémentaire entre les deux. C’est en lisant beaucoup qu’on arrivera à assembler des mots et des phrases pour constituer un écrit.

Dans la vie, il faut chercher à vivre et non pas à survivre. Il faut s’ouvrir au monde et aller à sa découverte. C’est en contemplant l’espace qui nous entoure qu’on arrive à connaître ses secrets et ses trésors. Dans la vie, nous avons besoin d’aller en aventure. Il faut accumuler les expériences afin de pouvoir forger notre personnalité et nourrir notre cerveau de connaissances.

De nos jours, la jeunesse marocaine n’a plus aucune ambition, aucun rêve, aucune envie, aucun but dans la vie. Les jeunes d’aujourd’hui se contentent de ce qu’ils ont entre les mains, ce qui est à leur portée. Ils ne font plus aucun effort pour apprendre et s’améliorer. Ils veulent imiter les autres, ressembler aux autres et réussir à avoir la vie des autres. Une très grande majorité des jeunes Marocains baigne dans l’insouciance, dans le déni, dans les banalités… Etc. Ils n’ont aucune conscience de la gravité de leur situation.

Les jeunes de notre pays doivent sortir de leurs bulles. Mais malheureusement, cette jeunesse ne se réveillera pas toute seule. Il faudra la secouer, la guider, l’accompagner, l’épauler, l’éduquer, l’écouter et lui montrer le mal et ainsi, le chemin qui mène vers le bien.

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