La séance de discussion hebdomadaire s’est basée sur l’article “ Après le coronavirus, le rêve d’un autre monde du travail ”.
Même si les jeunes sont d’accord que l’on doit remettre en cause l’organisation du travail, sa valeur et son sens, ils ne pensent pas qu’il y aurait un changement dans le monde du travail au Maroc après la crise du coronavirus. Certains d’entre eux voient le retour au travail comme un rêve en cette période.
Nous avons aussi parlé des métiers que les jeunes voudraient exercer. La réponse qui revenait souvent c’était un métier où ils seraient libres et n’auraient pas à subir la pression de quelqu’un.
Voici quelques textes rédigés par nos participantes suite à la discussion :
“Selon L’ANF, de nombreuses professions retrouveront de la valeur et d’autres disparaîtront. Cette crise mondiale a confirmé la validité de cet article. Dans notre vie quotidienne, elle a commencé à montrer l’importance de certaines carrières par rapport à d’autres qui sont difficiles à vivre sans elles, comme les médecins, la police et même les éboueurs qui travaillent jour et nuit. Ils s’exposent eux-mêmes et leurs familles au danger afin d’assurer notre service.
Pour moi, je remercie tous ces gens d’avoir sacrifié pour nous et pour notre pays, merci du fond mon cœur.” – Hind Belamria
“On a discuté un article sous le titre: “Après le Coronavirus, le rêve d’un autre monde du travail”. Ce qui montre qu’on a fait un reclassement de métiers dans le monde entier notamment les soignants et les professions qui ont été au front, du coup il faut les revaloriser et donner plus d’importance à ces gens, ce texte c’est comme s’il mettait le doigt sur ces secteurs ou bien domaines de travail sensibles et indispensables pour la continuation de la vie.
D’autre part il accélère la numérisation et aussi a réveillé la conscience planétaire partout le monde.
J’espère de tout mon cœur que toute l’humanité continuera sur ce chemin de la protection de l’environnement et de la valorisation de ceux qui le méritent vraiment.” – Souhaila Moumou
