Nous avons partagé avec nos participants un poème rédigé par Kitty O’Meara, une enseignante à la retraite qui habite aux États-Unis, dans lequel elle exprime ses craintes et ses espoirs sur la pandémie du Coronavirus. Ce poème diffusé dans le monde entier a été lu et discuté par nos participants dans le cadre de nos séances de débat.
Voici ce que Rachida a rédigé sur la séance :
“La première partie de la séance était consacrée à l’explication et la discussion du poème partagé par Kitty O’Meara sur les réseaux sociaux. Le poème commence par “Et les gens restèrent à la maison”. Kitty a écrit ce poème car elle était triste, elle s’ennuyait à cause du confinement, mais le poème a eu un grand succès car il décrit notre état d’esprit actuel face au coronavirus.
Après la lecture du poème, Jalila nous a proposé de parler de ce que nous avons retenu de ce poème.
Chacun de nous a confirmé, que grâce au programme NAJTAZ nous étions capable de maintenir l’apprentissage à proximité. Mais ce qui nous manque c’est le contact physique avec notre communauté.
La deuxième partie était consacrée à parler de nos activités quotidiennes au confinement.
Nous avions presque la même expérience en faisant la même chose grâce au programme NAJTAZ, et même Jalila nous a confirmé que les Mahiros sont aussi très occupés par ce programme.
À la fin de la séance, Hamza a proposé de maintenir ce genre de programme pendant les vacances.
Un grand merci à Jalila pour l’animation de cette extraordinaire séance. Ça m’a réchauffé le coeur de savoir que nous sommes une seule unité en tant que communauté, et que nous travaillons pour un seul objectif qui est la continuité d’apprentissage peu importe les conditions dans lesquelles nous vivons.”
