Taqi Eddine, Imane, Abdessamad et Rachida ont voyagé à Rabat pour participer à un programme en journalisme avec des étudiants de New York University. Encadrés par Aida Alami, ils ont rendu visite à l’Organisation Internationale pour les Migrations, l’Association marocaine des droits humains et ont été partagés en groupes pour faire plusieurs interviews et recherches dans la médina sur des sujets divers. Ensuite, chaque groupe a fait une présentation sur le fruit de son travail.
Voici ce qu’a écrit Rachida :
Le 19 janvier 2020, j’étais très ravie de rencontrer la journaliste Aida Alami à Rabat pour travailler avec les étudiants de NYU Abu Dhabi.
Nous avons rencontré le groupe NYU Students dimanche soir à rabat, ils étaient de différentes nationalités, ils nous ont parlé de leurs projets. Ils ont choisi de traiter différents sujets comme l’immigration, le féminisme, le mouvement #Masaktach, le terme #hchoma … Dans le but de réaliser des présentations autour de ces sujets.
Le lendemain, après le petit déjeuner nous sommes allés à l’IOM ( International Organisation of Migration) pour assister à une présentation intitulée » Media, Coverage and Migration: challenge and opportunities » animée par Eulalia Figueras. Elle a parlé de la mission et du rôle de l’organisation pour aider les migrants à régler leur situation au Maroc.
Vers la fin de la journée, nous sommes allés à l’Association Marocaine des Droits Humains. Mohamed El Boukili nous a parlé de l’objectif principal de l’association qui est la défense des droits de l’Homme. Il a dit que l’association joue un rôle très important pour aider les gens comme Zafzafi, Hajar Rissoni … à retrouver leur liberté, et qu’il continuera toujours à se battre pour atteindre leur objectif malgré tous les obstacles rencontrés.
Le dernier jour, nous avons accompagné les étudiants à la ville pour faire des interviews sur leurs sujets, ainsi qu’on les a aidés dans la traduction des témoignages des gens dans la rue.
J’ai beaucoup profité et surtout appris de cette rencontre, j’ai eu la chance de connaître des personnes de différentes nationalités et diverses cultures. J’ai pas trouvé des difficultés à communiquer avec eux. Finalement, je remercie Aida Alami et Connect Institute pour cette opportunité.
