La projection simultanée d’Electro Chaâbi au Centre Pompidou dans un Paris endeuillé, et à Agadir dans les locaux de Connect Institute, s’est prolongée avec une discussion et un échange sur le film documentaire de Hind Meddeb – que nous recevions au courant de l’année à l’occasion d’AGORA 3. Une plongée au cœur des bidonvilles du Caire et d’une jeunesse égyptienne bercée par un nouveau genre musical, représentatif des bouleversements sociaux, politiques, économiques et culturels que vit l’Egypte.
Voici quelques réactions des jeunes de Connect Institute :
“Ces jeunes égyptiens ont réussi malgré les conditions difficiles. Cette histoire décrit bien le contexte actuel dans notre région.” Ayman Abdelilah
“A chaque fois qu’il y a une nouvelle idée, les gens la refusent. Mais les musiciens egyptiens d’Electro Chaabi ont quand même pu faire leur chemin vers le succès.” Mouna Akebli
“J’ai appris de ce film que les équipes doivent rester soudées. Je n’ai pas aimé que deux chanteurs abandonnent le groupe pour aller chercher leur succès.” Abdelaziz Hamer
“The documentary was informative about the social problems that the Egyptian society suffer from such as women’s harassment. ” Marya Joudani