Pour leur deuxième séance-débat de la semaine, nos participants ont été invités à lire et à partager leur opinion sur l’article “The Difference Between Open-Minded and Closed-Minded People”. Publié dans le blog Farnam Street, l’article montre qu’il est indispensable d’être ouvert d’esprit pour apprendre et évoluer dans le monde, mais cette ouverture d’esprit ne s’acquiert pas sans TRAVAILLER. Après la discussion, les jeunes ont été invités à rédiger un texte dans lequel ils ont synthétisé l’article tout en exprimant leur opinion.
Voici le texte de Brahim :
“Cet article est concentré sur le livre de Ray Dalio, Principles, qui montre la différence entre deux catégories de personnes, les ouverts et les fermés d’esprit. De septs façons, il nous a expliqué comment les différencier et déterminer à quel groupe nous appartenons.
La différence entre les deux groupes se manifeste dans la façon de traiter les obstacles et les défis auxquels chacun est confronté dans la vie. Les gens qui réussissent ont tendance à aborder la vie avec un état d’esprit ouvert, un désir d’apprendre et une volonté de se tromper. L’autre groupe arrête tout au premier signe de désaccord et préfère mourir plutôt que de se tromper. Je trouve que ces deux dernières phrases ont résumé l’article.
Enfin, il a cité les sept façons basées sur le livre de Ray Dalio, et a donné plus d’explications à chacune.
Pour conclure, je voudrais exprimer mon avis sur le sujet. Auparavant, j’ai été une personne qui avait peur. Cela était le résultat de l’éducation que j’ai reçue dans mon milieu familial, car il nous était interdit de parler aux adultes. A l’école, il nous était interdit de faire une erreur, sinon nous sommes punis par l’enseignant. Au fil des ans, ma curiosité a commencé à diminuer, tout comme ma capacité à poser des questions. Cela m’a conduit à éviter la discussion avec les autres.
C’est le résultat du passé que j’essaie de surmonter et j’essaie de remédier à ce que j’ai manqué.
Maintenant, je sens que je me suis amélioré et je n’ai plus peur de me tromper, car je comprends que si je ne fais pas d’erreur, je ne ferai aucun progrès. Mais je dois encore faire un double effort.
Je ne me considère pas comme appartenant à aucun de ces groupes, mais j’oscille entre les deux.”
