Nos participants ont repris contact avec leurs binômes de SIT Study Abroad dans le cadre de projets en journalisme sur des sujets de leur choix. Cette semaine, Intissar, Wessal, Abdessamad, Imane et Mohamed ont assisté chacun de son côté à une réunion skype avec leurs binômes accompagnés de Aida Alami et Mary Stucky pour discuter de leurs sujets de travail “The future of environmental migrants can be found in Morocco”, “Domestic violence against women during quarantine period” ou encore “The Coronavirus pandemic is changing how Moroccans prepare for and celebrate Ramadan”.
Voici ce qu’a écrit Mohamed sur la réunion :
“Il faut choquer les lecteurs avec votre histoire et les laisser poser des questions sur le sujet. C’était une parmi les différentes remarques que Aida Alami nous a données lors de notre rencontre avec elle, Mary Stucky et ma collègue du programme SIT Gari De Ramos. Cette rencontre était sous forme d’un videocall. Après que chacun s’est présenté, nous avons entamé la présentation de notre sujet, notre plan de travail et toutes les informations récoltées. Ce dernier était sur « The future of environmental migrants can be found in morocco ». Elles ont apprécié notre travail. D’après elles, il faut seulement que nous nous focalisons beaucoup plus sur comment les changements climatiques peuvent agir sur l’immigration en racontant une histoire, utilisant des récits de personnages, avec de la motivation, des conflits, … .
Voici quelques questions auxquelles nous allons devoir répondre pour affiner notre travail :
- Quelle est la gravité de la sécheresse actuelle au Maroc ? Quelles sont les statistiques ?
- Combien de personnes ont migré des zones rurales vers les zones urbaines à cause de la sécheresse ?
- Qui sont les gens qui migrent à cause de la sécheresse? Pouvons-nous entrer en contact avec eux ?
- Quelles zones urbaines reçoivent le plus de migrants ruraux vers urbains? Comment gèrent-ils cette population accrue ?
Nous avons choisi une histoire de villageois qui ont laissé leur village et leurs familles pour aller travailler dans les grandes villes à cause de la sécheresse. Nous sommes encore dans l’état initial pour le moment, nous cherchons des contacts. Les prochaines étapes comprendront la recherche de deux choses :
- Premièrement, nous devons trouver des articles qui répondent aux questions posées ci-dessus,
- Deuxièmement, et plus important encore, nous devons trouver les coordonnées des personnes qui peuvent répondre aux questions ci-dessus. Il peut s’agir des migrants eux-mêmes, d’urbanistes ou d’ONG travaillant sur ce sujet.”
